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A notre avis, seule l'Europe est capable de générer des situations
aussi délirantes. C'en serait risible si les enjeux n'étaient pas
aussi importants.
Début juin : Jean-Jacques Dordain mal à l'aise devant les exigences
de l'Union
Le 5 juin, lors de la Conférence à l'Assemblée nationale du Groupe
parlementaire français de l'Espace, le directeur général de l'ESA,
qui d'habitude se montre rassuré et rassurant, manifestait un certain
malaise devant l'ouverture voulue par les instances de l'Union à
la compétition extra-européenne pour valoriser au mieux leur investissement
de 3,4 milliards €.
Il faisait part de son inquiétude avec beaucoup d'ironie : " L'ESA
évaluera les offres des contrats et privilégiera la meilleure valeur
à obtenir. Mais si le résultat de notre évaluation est de choisir
une plate-forme de satellite américain, avec une charge utile russe
et pour un lancement avec une fusée chinoise, il y a sans aucun
doute un moyen de réaliser Galileo de manière moins coûteuse : il
faut juste continuer à utiliser le GPS ".
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