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La
et l'
ont décidé de collaborer plus activement ensemble pour mieux comprendre
la structure globale de Mars, la planète du Système Solaire qui
ressemble le plus à la Terre. Un pas en avant vers l'internationalisation
de l'exploration robotique et humaine de Mars.
Concrètement, américains et européens vont définir ensemble les
missions des fenêtres de tir de 2016, 2018 et 2020, vraisemblablement
les dernières avant la mission de qui pourrait être lancée en 2022.
Cette initiative conjointe vise à planifier de façon cohérente et surtout pragmatique les étapes suivantes de l'exploration robotique de cette planète. L'effort scientifique se focalisera sur les questions liées à son habitabilité, sa géologie et sa géophysique.
La mission ExoMars, prévue en 2016 va bénéficier à plein de cet
accord. On peut d'ores et déjà vous révéler qu'elle va (re)devenir
bien plus ambitieuse que ce l'on
il y a encore seulement quelques semaines. La NASA et l'ESA veulent
faire de l'étage de croisière entre la Terre et Mars un véritable
orbiter avec une charge utile significative dédié notamment à
la question du
découvert par MarsExpress et observé encore tout récemment par
MRO. Pour cela, les américains veulent envoyer un instrument de
35 kg tout comme l'équipe française qui développait un instrument
similaire pour la mission concurrente de Marvel (2013) qui n'a
donc pas été sélectionnée.
Nous vous tiendrons rapidement informés de ses avancées.
Note
L'Agence spatiale européenne tient à souligner que cet accord
avec la NASA n'est pas un frein à sa coopération avec ,
l'Agence spatiale russe, qu'elle souhaite renforcer ces prochaines
années.
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