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Un ouvrage de l'Université d'Oxford, financé notamment par le et le , affirme que le déclin
et l'extinction des biens naturels pourrait causer d'importantes
pertes pour la recherche médicale.
Les experts préviennent que de nombreuses formes de vie terrestre
et marines qui ont un intérêt économique et médical pourraient disparaître
avant que nous puissions en connaître les secrets et parfois même,
avant même de savoir qu'elles existent, indique un
publié aujourd';hui par le PNUE à New York.
Dans l'ouvrage `Sustaining Life´, plus de 100 experts expliquent
que certains traitements prometteurs, notamment contre les pertes
osseuses, les problèmes de reins, certains cancers, pourraient ne
pas voir le jour en raison de la perte de la biodiversité.
Un chapitre est consacré à l';étude de sept groupes d';organismes
menacés qui présentent un grand intérêt pour la médecine :
- Amphibiens, ours, conidaes ;
- Des mollusques carnivores ;
- requins, primates, gymnospermes ;
- Plantes conifères ;
- Limules (sortes de fossiles vivants).
Pour les experts, il s'agit donc de permettre une meilleure conservation
et une meilleure gestion des espèces et des écosystèmes qu';elles
habitent.
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